dimanche 26 février 2017

Le pasó Jama dans l'autre sens nous semble bien différent 


Nous sommes donc partis ce matin avec nos nouveaux amis brésiliens sur cette route du Paseo Jama que maintenant nous connaissons bien. Pas de neige malgré la pluie forte tombée hier soir sur San Pedro de Atacama. La température descend à 2 degrés et nous ne trouvons aucune neige sur la route.

Avec nos nouveaux amis brésiliens 



Après le col, dans les grandes plaines des salars, nos amis roulent plutôt vite C’est un plaisir d’escadrille avec ces six machines, roulantes ou volantes, et nos chères Berthas, libérées, filent sans sourciller à 160, enchaînant de grandes courbes.

Plaines immenses du paso Jama

L'étendue du grande salar 







Petite exploitation de sel


Puis nous descendons aujourd’hui cette magnifique route que nous avons gravi il y a deux jours avec le sentiment nostalgique d’un au revoir à  la cordillère. Entre Pumarca, à 2400 m d'altitude, début de la montée, et San Pedro de Atacama, aussi à 2400 m, il y a 400 km  dont 200 à  une altitude variant entre 4000 et 4800 m d'altitude.
Arrêt le soir à San Salvador de Jujuy.

Commencement de la descente vertigineuse vers Purmamarca 



Le 23 février, Amaury et Hubert, se sont faits voler tous leurs papiers,  passeports, cartes de crédit, argent, téléphone portable,  ils sont encore à Vicuña, à 600 km au nord de Santiago. Ils devraient rejoindre après demain Santiago pour obtenir au plus vite un nouveau passeport. Les délais d’obtention d’un nouveau passeport seraient de 15 jours…  Leur idée est de sillonner le Chili pendant cette attente forcée.

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