lundi 23 janvier 2017

21-01  


le soleil est là, dès le matin. Ça va cogner ! Heureusement nous sommes samedi et la circulation est fluide dans Montevideo. Effectivement la chaleur monte vite pour atteindre 36 degrés, la vitesse aide à supporter cette chaleur. La bière fraîche aussi !
Aujourd’hui on fait deux groupes, c’est plus simple.
On décide de ne pas prendre le bateau ferry qui traverse le Rio de la Plata et arrive à Buenos Aires. Il coûte 350 dollars par moto. On va faire le tour par le pont qui se trouve à 300 kilomètres.


Petit arrêt le long de la route dans un minuscule estanco qui nous concocte un espèce de hamburger avec un excellent bifteck coupé très fin. C’est parfait et pas cher. Les troupeaux laissent plus la place à un peu d’agriculture.
La douane se passe bien, nous sommes en Argentine !

Le bouiboui

Hôtel vieillot rajeuni, deux petites chambres de trois font l’affaire, la climatisation fonctionne, pour le reste on n’est pas difficile.


22-01 André reprend seul la route pour Curitiba, le sénateur va nous manquer. Route rapide et sans intérêt pur rejoindre Buenos Aires, on tourne un peu pour trouver l’hôtel Ibis, il n’y a pas d’embouteillage car nous sommes  dimanche  ce qui nous permet d’admirer la ville avec ses très larges avenues et ses grands bâtiments un peu anciens qui témoignent d’une richesse passée. La chaleur est toujours là mais ne dépasse plus les 33 degrés.


Demain lundi il faudra tenter de trouver un amortisseur de direction pour la moto d’Olivier et des pneus pour la Honda d’Hubert car ils ne tiendront pas jusqu’à Santiago, il faut dire qu’il les a sollicités sans ménagement. On sort d’un resto vers 16h.




Hubert rencontre des journalistes suisses de la RTS et accepte de transporter un cameraman qui fait un reportage sur Buenos Aires.

Retour du tournage avec le cameraman

Le soir Norbert déambule dans les rues pour sentir un peu l’ambiance, atmosphère assez bruyante, pas de réflexes de propreté, les gens s’en foutent un peu, mais des nettoyeurs poubelleurs passent vers minuit. On peut remarquer des ‘sans domicile’, signe de la difficulté économique, dormant comme ils peuvent.

Amaury Gonzague et Hubert sont allés voir du tango dans une boîte, l’âge canonique des danseurs et surtout des danseuses, les a, si l’on peut dire, refroidis.



Un déjeuner très sympa avec Christian que Gonzague n'avait pas revu depuis 4 ans et qui a été notre sauveur pour nous procurer les attestations, cartes vertes, des motos chez Seguros Rivadavia (compagnie dénichée par Norbert ) 



Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire